Je suis amoureux d’Angular

 

🟩 Introduction : Une passion née dans la douleur

Quand j’ai commencé ma vie professionnelle, Angular était le premier vrai framework que j’ai appris. Jusque-là, j’avais surtout fait du C++ et du Java à l’université. Et comme beaucoup de développeurs backend, je ne pensais pas qu’un outil frontend allait me parler autant.

Mais Angular n’est pas un simple outil pour construire des interfaces. C’est une façon de penser. Une structure. Une logique. Une rigueur. Et tout ça, moi j’adore.


🛠️ Un démarrage pas si simple

C’était en 2020. À l’époque, je rejoignais Omega Numeric IT, et sous la pression bienveillante de M. Cress, le DG, j’ai plongé dans Angular.

Franchement ? Au début, c’était rude. Complexité, verbosité, courbe d’apprentissage raide… Je comprends pourquoi certains développeurs fuient Angular. Mais moi, je venais du monde du C++ et du Java. Je voyais dans Angular une logique familière. Et cette rigueur m’a parlé.


🔄 L’élégance de l’orienté objet

Ce que j’aime le plus dans Angular, c’est son respect de la programmation orientée objet. Grâce à TypeScript, Angular permet de structurer le code comme en Java ou C++ :

  • Classes, interfaces, héritage

  • Encapsulation claire

  • Injection de dépendances bien pensée

  • Services réutilisables

Angular ne fait pas semblant d’être orienté objet : il l’est vraiment.

Et pour un développeur comme moi, qui pense en termes de modèles, d’abstraction et de logique, c’est un bonheur.


👨‍💻 Angular, c’est presque du backend

Ce que beaucoup ne réalisent pas, c’est qu’avec Angular, on code une application frontend avec la discipline d’un backend :

  • Architecture modulaire

  • Injection de services

  • Routing avancé

  • Typage strict

  • Séparation claire des responsabilités

Honnêtement, parfois j’ai l’impression d’écrire du code backend… côté client. Et c’est ce qui fait toute la différence avec d’autres outils qui sont souvent trop permissifs ou trop minimalistes.


🤔 Pourquoi pas Laravel ?

J’ai travaillé avec Laravel, et malgré ses qualités, j’ai eu du mal à retrouver cette rigueur orientée objet que j’aime tant. C’est plus souple, plus « magique », mais justement… trop peu explicite pour moi.

Angular me permet d’écrire du code que je comprends, contrôle et structure de A à Z. Il ne devine rien à ma place. Il me pousse à penser, à organiser, à clarifier. C’est exactement ce que j’attends d’un bon outil de développement.


🧠 Angular ne se déteste pas, il s’apprivoise

Angular est exigeant. Il demande du temps, de la discipline, et une vraie compréhension de son fonctionnement. C’est pour ça que beaucoup l’abandonnent.

Mais moi, je dis ceci : Angular ne se déteste pas — il se maîtrise. Et une fois que tu l’as compris, tu ne peux plus t’en passer.


💚 Je suis le défenseur d’Angular

Aujourd’hui, dans un monde frontend dominé par React ou Vue, je me tiens là, avec mon drapeau Angular. Parce que je crois en sa vision. En sa logique. En sa rigueur.

Angular m’a appris à aimer le frontend autant que le backend. Il m’a permis de rester fidèle à mes valeurs de développeur orienté objet. Et pour ça, je lui dois beaucoup.


🔚 Conclusion

Alors oui, je suis amoureux d’Angular. Et si toi aussi, tu es amoureux de la logique, de la rigueur, de l’architecture… donne-lui une vraie chance. Tu verras : c’est un amour qui grandit avec le temps.

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